lundi 24 octobre 2011

Celtic Faeries


Auteur : Jean-Baptiste Monge
Editions : Au bord des continents
Collection: Avis de tempête
Parutions : 28 novembre 2007
Pages : 106

Il ne sera pas ici question de mythologie mais simplement de Faerie. Nous remiserons donc joyeusement au placard, hormis quelques légères allusions que nous laisserons doucettement suinter, la Déesse Dana et ses Tuatha De Danann, pour nous intéresser uniquement au petit peuple des Cetlic Faeries. A ce que d'aucuns, dont vous lecteurs j'espère ne faite pas partie, ne voient que comme une dégénérescence de ces Dieux et Héros des premiers âges, alors même que les Faeries parcouraient déjà la Terre bien avant que l'Homme et ses rêveries ne viennent lui-même, on ne sait trop comment, sans doute par un quelconque jeu du hasard, y mettre pied.

A la frontière de l'invisible, à la lisière des sombres bois touffus de notre enfance, au coeur des vallées enchanteresses de nos premiers emois, au plus pofond des landes, des fondrières et des tourbières, alors que le temps fait insidieusement son oeuvre, allez!
Allez, encore et toujouts par le chemins aventureux du Rêve!
Quand les brumes s'étirent à la tombée du soir, quand la lune est argentée, tout joufflue et bien haute allez!
Tournez neuf fois autour de la colline aux Fées dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, avancez mainenant d'un pas, et...

... Entrez


Mon avis

Comme dit dans l'un des premiers articles de ce blog, je suis une grande passionnée des mondes Féeriques et enchantés. Ce livre n'en est qu'un de plus dans ma collection. Je me devais tout de même de vous le présenter comme il se doit. Car oui, les romans nous transportent dans des autres mondes et des univers parallèles, mais les beaux livres, ou Artbooks aussi. Des dessins somptueux, des textes accompagnants chaque personnages. Douterez-vous encore de l'existence des Fées et des petits peuples de la nature après ce livre ?
Monge est un véritable artiste. On ne peut qu'admirer et contempler ce livre. L'idéal ? Le feuilleter un soir d'octobre ou novembre, avec une bonne tasse de thé au coin d'un feu, avec une douce musique celtique qui rappel les contrés ou l'on rencontre le plus facilement ces petites créatures.
Pour rien au monde je ne me délaisserais de ce petit bijoux.


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