vendredi 30 novembre 2018

Concours de l'avent 2018

QUATRIÈME LOT DU DIMANCHE 23 DÉCEMBRE : OUVERT

Comme l'année dernière, la période des fêtes est propice au partage. Alors que j'allais simplement donner mes livres dans la boite à livres du quartier, comme d'habitude, je me suis dit que j'allais en garder pour vous les faire gagner, durant les 4 week-end qui précèdent Noël. L'an dernier j'avais eu le temps de me rendre spécialement pour vous à Emmaüs, chiner et trouver de petites pépites que j'allais pouvoir vous faire gagner. Cette année, prise par le temps, je n'ai pas eu le temps de m'y rendre. Plan B en action, ce sont mes propres livres que je vais vous faire gagner, ceux que j'ai aimé découvrir, mais dont je dois me séparer pour faire de la place aux nouveaux. 

Le seconde main a une grande importance dans mon quotidien, j'essaye de le privilégié dès que je peux. Et ça passe aussi par les cadeaux. Si le concept ne vous branche pas (recevoir un livre qui n'est pas neuf), rien ne vous oblige à participer. 
Les concours dureront chacun 7 jours, d'un dimanche à l'autre, jusqu'à 15h. Passé ce délai, ils seront remplacé par les lots suivants, etc. Sauf pour le dernier qui se terminera le 26 décembre, 15h et qui clôturera la saison du calendrier de l'avent. Les conditions de participation seront toujours clairement indiquées dans le formulaires du lot, lisez-les bien, et que la chance soit avec vous ! 




  • Pour tenter de gagner 2 livres de Dennis Lehane, cliquez sur ce lien, pour accéder au Google Forms
  • Pour tenter de gagner la saga : La rondes des saisons, cliquez sur ce lien, pour accéder au Google Forms

Vous faire plaisir me tient à coeur





mardi 20 novembre 2018

Chroniques des fleurs d'Opale, tome 1, partie 1 : La candeur de la rose


Craquage total pour cette couverture sur un stand des Imaginales. Puis dans les allées du salon, je croise Camille, une lectrice tatouée, et on commence à papoter de cette passion commune, de dessins animés, etc. En rentrant chez moi, je parle rapidement des petits achats effectués, et voilà que Camille m’écrit pour me dire qu’elle a aussi acheté le roman d’Ielenna. Lecture commune ? En octobre ? Moment idéal et merveilleux partage !

Diphtil est une Neltiade, un peuple détesté des humains. Alors qu’elle n’est qu’une enfant, sa ville est détruite et elle doit fuir. Dans sa course, elle perd son frère Naid. Arrivée dans une ville humaine voisine, elle demande asile. Le prêtre et les sœurs la reconnaissent comme étant la cinquième Déesse, celle que promet la prophétie. Ravis d’être tombés sur elle, ils vont la protéger et la garder dans le monastère durant des années. Mais aucun oiseau ne peut rester en cage éternellement, même le plus docile…

Ielenna possède un sacré univers ! C’est vraiment ce que je retiens. Pourtant, je ne partais pas confiante, car dès les premières pages, je butais énormément sur le style. Ce dernier est assez lourd, et l’autrice utilise régulièrement des mots oubliés. Ce qui fait que mon élan était brisé plusieurs fois par page, m’achoppant à ces mots, dont je devais déduire le sens (je n’avais clairement pas envie de consulter le dico à chaque reprise.) Il m’aura fallu beaucoup de temps pour trouver mon rythme, et ne pas perdre espoir. Quand on ne reprend pas sa lecture avec plaisir, c’est quand même dommage. Mais Camille me motivait, elle m’assurait des passages bien meilleurs, et donc, requinqués, je reprenais ma lecture.
Je ne sais pas si au bout d’un moment je me suis faite au style, ou si simplement il s’allège au fil des pages, mais passé la moitié, j’étais totalement embarquée !

Si l’autrice part sur un schéma de fantasy basique (la quête épique), elle instaure ses propres codes. Avec des peuples souvent absents des récits de fantasy. Pas de nains ou d’elfes, mais des ondines et des neltiades. Inventer un peuple est à double tranchant, soit il est bien travaillé, comme ici, et ça passe, soit c’est brouillon et peu abouti et on ne s’y attache pas. Plutôt que de partir sur des mages ou des sorciers, ce sont les Dieux qui sont à l’honneur, ainsi que leurs héritiers. La magie a plusieurs facettes, et on n’a fait qu’entrevoir sa puissance dans cette première partie.
L’intrigue est peut-être basique, mais les retournements de situation le sont beaucoup moins. On a des actions qui surprennent et qui ne laissent pas le lecteur indifférent. Trop souvent, les personnages importants sont protégés par les auteurs, les rendant presque invincibles. Ielenna n’est pas de cette trempe, elle s'apparente plus à un Gabriel Katz (l’humour en moins) dans le traitement qu’elle leur réserve. Ce qui fait qu’on est surpris, on tremble, et on retient sa respiration durant certains passages.

Diphtil est un personnage très passif au début de son histoire. Grandir enfermée dans un monastère la rendue très candide et naïve. Quand sa quête commence, elle parle avec un langage distingué, et a des manières fragiles. La vie sur les routes va la forger. La compagnie de Naid va fortement la chambouler, le frère et la sœur ayant grandi dans des univers radicalement différents. Si bien sûr j’ai eu envie de secouer Diphtil plus d’une fois, elle m’a beaucoup impressionnée dans son évolution. C’est un personnage qui grandit et change. Peut-être pas toujours pour le mieux, mais j’aime cette dualité qui se propage en elle.
Naid m’intrigue. Quelques révélations sont faites sur lui, mais j’en attends encore plus le concernant. C’est l’un des personnages qui m’a plu tout du long. Avec Yasalyn, la chasseresse. Son identité est très mystérieuse, et l’autrice tient le secret jusqu’au bout. Et quel secret ! J’ai été tellement surprise et dans le bon sens, que j’en voulais encore.

La fin est un peu précipitée peut-être. L’autrice prend son temps durant les trois-quarts du roman, pour accélérer le rythme dans les derniers chapitres, les plus intéressants et les plus révélateurs. Mais c’est un détail. Et on sait qu’on aura envie de prendre la partie 2 pour retrouver cet univers, ces personnages et cette quête.
J’avais peur, avant de commencer. Peur d’un univers bâclé, pas assez bien décrit et mal amené. J’ai été surprise et carrément emballée par cette histoire. Ielenna promet une aventure épique ! Et elle est au rendez-vous !


Autrice : Ielenna
Pages : 464

samedi 17 novembre 2018

Les routines sont de retour


Il y a deux ans, j’avais sorti un article sur l’importance de mes routines, vous en détaillant quelques-unes. Aujourd’hui, ces routines sont toujours présentes, mais peut-être ont-elles un peu changées. Entre-temps, ma fille est plus grande, notre rythme de vie a changé et les lieux de travail aussi. Ce qui fait que les routines doivent se mettre à jour.

Les routines, malgré leurs changements, restent pour moi très importantes. Elles font partie de mes journées, et grâce à elles j’aborde le quotidien plus sereinement. De plus, avec un enfant, on comprend vraiment l’importance du mot routine. Les enfants y sont très sensibles, et je remarque que notre fille en a besoin pour rythmer sa journée sans être déstabilisée. Avec le temps, les siennes changeront aussi, et s'adapteront à ses nouveaux besoins.

Comme dans le premier article, je différencie routines d’organisation et rituels bien-être. Dans la première catégorie, on trouvera par exemple :
  • L’instant bullet journal du matin, pour voir en un coup d’œil ce que j’ai à faire dans ma journée.
  • Établir les menus de la semaine le lundi matin. Rien de bien sorcier là-dedans, on planifie un repas par jour, le reste c’est surprise, et on fait les courses directement après. Gain de temps le midi (menu planifié) et si besoin, on aura des restes pour le soir (qui est un repas plus léger), gain de temps lors des courses, car on n’achète plus que les ingrédients qu’il faut pour les menus, on ne zone plus dans les rayons. Gain d’argent. Et repas plus variés.
  • Avoir des jours fixes pour certaines tâches ménagères, dans la semaine et dans le mois. Faire les choses régulièrement m’évite de perdre du temps à devoir les faire à fond. Un peu chaque fois est moins chronophage.
  • Répondre à mes mails tous les lundis, histoire de vider la boîte complètement, et ne plus être préoccupée par ça le reste de la semaine. J'ai d'ailleurs enregistré une signature qui l'explique parfaitement, et qui prévient que je ne vis pas connectée.
  • L’instant bullet journal du soir, pour planifier la journée du lendemain.
  • Ranger complètement les plans de travail de la cuisine et la table de la salle à manger, avant le moment cocooning du soir. Si ce n'est pas fait, un minimum, je ne serais pas capable de me déconnecter tranquillement le soir. 



Et dans la seconde :
  • Faire une pâtisserie (petite ou grande) tous les dimanches. C’est une activité qui me détend et me procure beaucoup de plaisir. 
  • Commencer mes journées par une petite séance d’étirement, yoga et méditation (pas plus de 10-15min).
  • Aller me promener au minimum une fois par jour, voire même plus quand je peux.
  • Éteindre les écrans idéalement 1 heure avant de dormir, au minimum 30 minutes avant.
  • Écrire dans mon journal une fois par semaine. 
  • Regarder et vider ma playlist « à regarder plus tard » pendant que je prends mon petit déjeuner, toute seule.
  • Lire le matin avant d’aller travailler.  
  • Plusieurs fois par semaine, après 20h, se déconnecter et prendre le temps de faire des choses pour moi. Lire, regarder un film ou une série, bricoler, colorier, écrire, prendre un bain, etc.

On y trouve aussi des petits rituels plus ésotériques :
  • Me tirer les cartes, selon les besoins et envies, de mes oracles. Pas forcément tous les matins, mais quand ça me vient.
  • Purifier et recharger mes cristaux les soirs de pleine Lune.
  • Remplir mon diagramme lunaire chaque matin.
  • Décorer mon bâton de Lunes au moment de mon cycle.
  • Méditer chaque matin après ma salutation au Soleil.


Ces petites choses me rassurent, et me permettent d’avoir des journées, semaines ou mois mieux répartis. Je n’ai jamais l’impression de tout faire le même jour. On se répartit les tâches à deux, et j’ajoute à ça mes organisations personnelles. Mes moments à moi ne se ressemblent pas toujours, j’aime avoir des soirées uniquement pour moi. Mais j’aime aussi l’imprévu, ou le prévu qui change de ce que je fais habituellement. Si l’envie est là, je n’hésite pas à bousculer mes routines et rituels pour faire de la place aux autres.

Comme souvent, je n’aborde pas les routines de bébé, car je préfère ne pas les étaler publiquement. Si par contre vous avez envie qu’on en discute en privé, c’est avec plaisir.

Dans le cahier « Routine power » de Solar, les autrices affirment que les routines ne sont pas négatives du moment qu’on les adapte. Si on commence à faire ces choses par habitude, sans même s’en rendre compte et qu’on n’y trouve rien (pas de plaisir ou de d’importance), il faut peut-être les modifier. Une routine est censée nous permettre de libérer de la place dans notre cerveau, mais également d’être plus positif, pas l’inverse. Je ne suis plus à convaincre, pour moi ça rend clairement ma vie plus agréable. Peut-être la vôtre aussi ?



vendredi 16 novembre 2018

Nox


Wattpad et moi, ça fait deux. Je vais y lire mes copines, et c’est à peu près tout. Il y a quelque temps de ça, j’y ai découvert la plume d’Eloïse. Le titre court de son histoire et sa couverture m’ont attirée. Par la suite, Eloïse a vu son histoire se transformer en roman papier, grâce aux éditions du Chat Noir. J’étais impatiente de le voir, de le lire. J’ai arrêté ma lecture numérique, pour la poursuivre en version papier. Le challenge me semblait la période idéale pour le lire. Sorcière et vieilles croyances sont au rendez-vous !

Théa entend des voix. Et pourtant, elle va sortir de l’asile psychiatrique où elle vit depuis des années. Après la mort de sa mère, son père, ne sachant plus comment s’occuper d’elle, l’a tout simplement oublié. Aujourd’hui, elle est adulte, et rêve d’une vie calme. Mes ces voix ne la laissent pas tranquille. L’une d’elles attire son attention sur Elias, un jeune homme de son âge résidant à Clairmont. Elias, de son côté, entraîne sa meilleure amie Cléa dans une enquête sur les légendes de leur petite ville. Une ville qui aurait connu des sorcières.

La plume d’Eloïse est prometteuse. On ressent parfois quelques petites maladresses, comme des phrases répétitives ou des facilités dans le déroulement de l’histoire. Quelques incohérences peuvent être soulevées aussi, mais ce qui est drôle, c’est que les personnages eux-mêmes se rendent compte de l’incohérence et le font remarquer aux autres. Par exemple, Théa rencontre tout juste Elias et Cléa, que le trio partage déjà énormément de secrets. Des choses que les deux meilleurs amis ne s’étaient pas avouées. De plus, ils croient et protègent Théa dès leur première rencontre. Ils mettent bien en doute toute cette histoire, mais n’impliquent personne d’autre, et n’hésitent pas à l’emmener partout avec eux (messes et fêtes de famille comprises). La balance est donc un peu chancelante par moment. On sent que l’autrice se rend compte de ces petits soucis, mais ne les corrige pas pour autant.

À côté de ça, on a une histoire de sorcière des plus originales, et plausible. J’ai vraiment aimé les passages dans le passé, avec l’exécution de la première sorcière de Clairmont. La trame est intéressante, et se tient. La puissance ne fait que monter pour exploser durant les dernières pages. Eloïse Thange malmène ses personnages et ses lecteurs, et elle le fait bien. On peut excuser les maladresses de style, pour savourer une histoire qui change des éternels schémas qui tournent autour de la sorcière.

Théa est le personnage emblématique de cette histoire. Celle par qui tout se poursuit. Sa vie est tourmentée et sombre, elle ne sait plus à qui se raccrocher alors que ces voix ne la laissent pas tranquille. Ce qui rend ce personnage difficile à apprécier. On a envie de l’aimer et de l’aider, car son passé est traumatisant. Mais sa sensibilité et son parcours la rendent aussi un peu pénible. Entre ses vertiges, pertes de connaissance et ses crises, elle devient le personnage qu’on n’a plus envie de suivre. En fait, je ne sais pas comment la décrire, sans trop en dire, et sans la tailler négativement non plus. Elle est attendrissante, et je voulais connaître la suite de son aventure. Mais plus je la suivais, plus elle m’agaçait aussi. Son personnage assez difficile à cerner.
Au contraire de Cléa, qui elle est un personnage comme je les aime. Au caractère bien trempé, qui agit et qui n’est pas passive. C’est pourtant le personnage qui a le moins d’incidence sur les événements de Clairmont. Mais c’est celui qui fait bouger les autres. Elle prend souvent les choses en main, et attaque. Tout ce qu’elle fait n’est pas toujours bien, au contraire, c’est un personnage nuancé, qui avance en faisant des bourdes, et qui accepte ses erreurs.
Elias est le personnage de transition. Il est l’élément qui amène Théa à Clairmont, et celui qui va tout faire basculer, d’un côté ou de l’autre. Sa vie est loin d’être idéale, au contraire, et on s’y attache. Peut-être fait-il trop rapidement confiance, mais lui aussi est parfois un peu mou du genou. On s’attend à ce qu’il réagisse, et il laisse beaucoup trop les choses se faire autour de lui.

C’est une histoire qui change. Qui est loin des “il était une fois… ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants”. Et ça fait du bien. Du bien aussi de voir qu’une jeune plume possède un réel talent, et qu’elle va certainement encore nous surprendre avec ses univers. J’ai déjà hâte.


Autrice : Eloïse Tanghe
Éditeur : Du Chat Noir
Collection : Cheshire
Parution : 14 février 2018
Pages : 324

mardi 13 novembre 2018

Les Outrepasseurs, tome 4 : Ferenusia


Cet article peut contenir des spoils sur les tomes précédents de la saga Les Outrepasseurs

Trois ans et demi plus tard, nous y voilà. Le quatrième et dernier tome de la saga coup de coeur Les Outrepasseurs s’inscrit parfaitement dans les menus du Pumpkin Autumn Challenge. J’ai accepté la lecture commune avec Laetitia de la Lanterne Livresque.

Il m’a fallu du temps pour remettre tout ce petit monde en place. Certains noms ne me parlaient plus du tout, et chaque page était un nouveau défi. J’ai souri à quelques détails (le chat d’Antoinette s’appelle Chess, et le domaine familial de Peter se nomme la Renardise). Si les premiers chapitres furent addictifs comme les premiers tomes, la suite m’a déçue. Peut-être ai-je laissé filer trop de temps entre les tomes, et du coup la saveur n’était plus la même. Mais je pense malheureusement que c’est plus une question de plus-value. Je ne voyais pas ce que ce dernier tome apportait. Tout ce qui me fascinait dans les premiers, n’était plus là. Les ferreux ne m’intéressaient pas. Les Outrepasseurs sont déchus. 
Les enjeux restent importants, car l’autrice défend beaucoup de sujets actuels, comme la question de genre, l’amour homosexuel, le racisme, et je trouvais ça beau qu’elle y fasse attention. Mais j’avais la sensation que ça n’apportait pas grand-chose à l'histoire. Je suis pour le fait de défendre des causes, mais il faut que ça matche avec l’intrigue. Le sujet qui collait le mieux était celui du racisme, les ferreux n’étant pas des humains, ils se regroupent et se sentent menacés. Mais je n’avais aucune envie de les suivre, ou de les connaître. C’est comme s’ils arrivaient trop tard (oui, ok, ils étaient enfermés dans des camps pendant 3 tomes). Mais les personnages ferreux que l’on suit ne me séduisaient absolument pas. J’avais la sensation qu’il manquait des choses. Ces personnages me semblaient sortir de nulle part.

Ce qui a aussi été un peu mon ressenti face à Alex. Très vite, on se doute de ses origines et de son identité. J’ai trouvé ce personnage de trop. Car ses actions n’apportent pas beaucoup aux autres personnages.
Je voulais revoir Peter. Je voulais le sentir frémir entre les pages, se mettre à la recherche d’Arnaut. Ce sont les seuls personnages qui m’aient vraiment donné envie de poursuivre ma lecture. J’ai beaucoup aimé leur évolution et leur destin. C’étaient des moments forts.

Ce que je retiens de ce quatrième tome, c’est qu’il est de trop. La fin du troisième me suffisait amplement, et j’attendais autre chose de cette suite. Les personnages présents, ainsi que leurs histoires, ne m’ont pas convaincue. Il me manquait vraiment cette palpitation que j’ai ressentie durant ma lecture de la trilogie. La magie s’est éteinte à la fin du tome trois, comme l’a si bien écrit l’autrice. Les étincelles n’étaient pas là.


Autrice : Cindy Van Wilder
Éditeur : Gulf Stream
Collection : -
Parution : 4 mai 2017
Pages : 381

jeudi 8 novembre 2018

Cold Winter Foire aux questions

Les éditions se succèdent, mais certaines questions reviennent régulièrement. Cet article sera régulièrement mit à jour, avec les questions courantes. 

Q : Comment savoir si mon livre entre dans un menu ou une catégorie bonus ? 
R : En général beaucoup de participants se posent trop de questions alors que le but est de s'amuser. Les menus sont assez larges, on peut donc y mettre pas mal de livres, sans trop se heurter la cervelle. Et même si vous avez un doute, mettez le dans votre pile. De près ou de loin, il doit certainement entrer dedans. 

Q : Où puis-je partager mes avis lecture, fait dans le cadre du challenge ?
R : Sur le groupe Facebook du challenge. Mais attention, on ne met pas des liens d'articles sans statut. Les posts seront automatiquement supprimé. 

Q : A partir de quel âge puis-je participer ?
R : Il n'y a aucune limite. Tous les âges peuvent participer, Alice est justement en train de se faire une petite Pàl. 

Q : Puis-je mettre des livres qui n'entrent dans aucun des menus dans mon challenge ?
R : Bien sûr. Ils ne rapporteront pas de points, mais ils vous feront certainement passer un bon moment. Et c'est le principal. 

Q : Ma pile à lire doit-elle être prédéfini, ou puis-je y aller à l'aveugle ?
R : Comme on le sent. Le plus simple est d'aller selon nos envies. Si vous voulez construire une pile à lire spécialement pour le challenge, allez-y. Si vous préférez choisir les titres au fur et à mesure, faites le.

Q : Est-ce que les livres lus sans catégorie, mais seulement dans un menu, comptabilisent des points ?
R : Non, seulement les catégories bonus permettent de cumuler des points.

Q : Comment atteindre le palier "Reine des neiges" alors qu'il n'y a que 12 catégories bonus (donc 12 points) ?
R : Les catégories bonus peuvent être utilisé à l'infini, on peut donc rapidement atteindre le plus haut palier. 




Cold Winter Challenge 2018


Chaque année je vous ressors le même blabla autour du challenge. Le Cold Winter est un challenge qui fête sa 7ème édition. Depuis 2012 la bloggeuse Antonine nous propose de nous préparer une petite pile à lire pour tenir durant 2 mois de froid. Les thèmes ? Le froidNoëll'hiver, etc... mais rien n'est figé (dans la glace) chacun met ce qu'il veut dans sa PAL. Dans vos choix de lectures il sera par contre demandé d'intégrer un titre qui correspond à un des 4 menus proposés

Les menus



Le but est de choisir 1 menu minimum et de remplir la condition de lecture du menu choisi en lisant 1 livre lui correspondant. Ou de mettre plusieurs livres dans le même menu, ou de choisir plusieurs menus, etc. Pour le reste de votre PAL vous êtes totalement libre (froid ou pas, Noël ou pas). 

Catégories bonus

Ça c’est pour les petits challengers, qui veulent faire un challenge sans trop de contraintes. Pour les siphonnés du glaçon j’ai concocté cette année, des catégories bonus, à ajouter aux menus de bases, gagner des points et atteindre des paliers, winteresques ! On pourra tous terminer le challenge en chantant « Libérée, délivrée ! », ça sera merveilleux.

Ces catégories bonus, les voici. On peut les ajouter plusieurs fois à nos menus (mais bon, un minimum de fairplay, boire 50 fois un thé de Noël, pour gagner 50 points, je peux le faire aussi). Elles doivent impérativement être associées à un des 4 menus mentionnés plus haut. Encore mieux, si on combine certaines catégories avec un seul livre, les points se gagnent plus rapidement. Par exemple, lire un livre à la période des fêtes (menu magie de Noël), avec une intrigue de secrets de famille, et une couverture de Noël fait déjà gagner 2 points d’un coup !



Bon super, on lit des livres et on chante du Disney. Mais qu’est-ce qu’on gagne à la fin ? Rien. Oui. Désolée, je pensais à des glaces, mais le temps qu’elles arrivent… je vous laisse imaginer la tête de votre colis. Rien, MAIS on gagne des paliers (doux moment nostalgique des forums, où plus tu écrivais de posts, plus tu montais en grade).

  • C'est l'heure du thé. De 1 à 10 points devenez un petit Bonhomme en pain d'épices
  • Pas de repos pour les braves ! de 11 à 20 points vous serez un Lutin du père Noël
  • Qui croira en vous ? de 21 à 30 points vous transformerez chaque brise en tempête de neige, devenez Jack Frost
  • Dès 31 points, palais de glaces et bonhomme de neige à gogo ! Libérée, délivrée, laisser chanter la Reine des neiges qui en est vous !  

Où et quand ? 

On se cale sous les couvertures du 1er décembre au 31 janvier (après faut retourner bosser). Pour participer, rien de plus simple : participez. Que ce soit dans votre coin, en partageant sur le groupe Facebook, sur les réseaux sociaux avec le #coldwinterchallenge, sur votre blog ou en vidéo. Le but c'est de se faire plaisir durant deux mois, d'aimer nos lectures, de partager et de découvrir.


 BON CHALLENGE A TOUS ! 





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