mardi 9 juillet 2013

Team blogueuse à chat

Découvert sur les blogs de mes copines Livrement et Serega, et par leur biais le concept de Cécile Anna, je craque également. Je l'avoue je suis une blogueuse à chat. Et pourtant c'était pas gagné.

Myra a débarquée dans ma vie avec la Moitié. Ca allait de paire on va dire. Pas immédiatement enchantée, je reste sur ma position : j'aime les chiens. J'ai toujours eu un chien, et je reveux un chien plus tard. Le soucis dans mon appart' ? La place, on s'en doute. Bien que la petite boule de poil de Berger Allemand croisé avec on ne sait quoi, tenait à l'époque dans notre 3.5 pièces, mais en effet au moment du déménagement en campagne, elle était la première heureuse. Bon mais je vis tout de même dans un 2.5 pièces. Comme la licorne n'est toujours pas un animal domestique, j'ai du changer d'avis. 

Et finalement la petite Myra, âgée de 8 mois quand elle est arrivée avec son maître à la maison a apporté beaucoup avec elle. Des poils surtout. Mais je lui pardonne, car elle a été fait pour nous. Elle est folle, elle louche et elle a la queue cassée, comme ça c'est pas très glam' mais elle est extra. Tellement extra, que dès le mois d'août elle aura un petit frère, Chess (du chat du Cheshire d'Alice au pays des merveilles). 



Miss Peregrine et les enfants particuliers

Auteur : Ransom Riggs
Editeur :  Bayard
Collection : -
Parution : 31 mai 2012
Pages : 438
EAN-13 : 9782747037914

Une île mystérieuse
Un orphelinat en ruines
Une étrange collection de photos

Jacob Portman, 16 ans, écoute depuis son enfance les récits fabuleux de son grand-père. Ce dernier, un juif polonais, a passé une partie de sa vie sur une minuscule île du pays de Galles, où ses parents l'avaient envoyé pour le protéger de la menace nazie. Le jeune Abe Portman y a été recueilli par Miss Peregrine Faucon, la directrice d'un orphelinat pour enfants « particuliers ». Selon ses dires, Abe y côtoyait une ribambelle d'enfants doués de capacités surnaturelles, censées les protéger des « Monstres ».

Un soir, Jacob trouve son grand-père mortellement blessé par une créature qui s'enfuit sous ses yeux. Bouleversé, Jacob part en quête de vérité sur l'île si chère à son grand-père. En découvrant le pensionnat en ruines, il n'a plus aucun doute : les enfants particuliers ont réellement existe. Mais étaient-ils dangereux ? Pourquoi vivaient-ils ainsi reclus, cachés de tous ? Et s'ils étaient toujours en vie, aussi étrange que cela paraîsse...

Une histoire merveilleusement étrange, émouvante et palpitante.
Un roman fantastique qui fait réfléchir sur le nazisme, la persécution des juifs, renfermement et l'immortalité.


Mon avis

La couverture est étrange, fait même frissonner, et contre toute attente j’ai craqué. Pourtant moi et les histoires qui font peur, pas trop mon délire. Mais ici, il ne faut surtout pas se fier à la couverture, qui certes est dérangeante mais reste très mystérieuse et incite le lecteur à pénétrer dans l’univers des enfants particuliers.

Il est illustré, et pour la bonne cause ne vous en faites pas. Car si le livre en termes de genre et de style est passionnant on possède également un magnifique objet. Premier réflexe, en tout cas le miens, était de parcourir les photos, elles ne révèlent rien sur l’intrigue si on ne connait pas l’histoire, on peut les feuilleter juste pour le plaisir.
Ransom Riggs est un auteur à suivre. Il a une plume fabuleuse et aura su me convaincre que la deuxième guerre mondiale est une période inépuisable. J’avais déjà parlé durant mon avis du Garçons en pyjama rayé que la seconde guerre était un sujet qui avait bercé mon adolescence grâce à ma mère qui est une passionnée et qui possède une collection importante de livres la dessus. Forcément au bout d’un moment ça lasse, donc je fuyais un peu les romans se déroulant à cette période. Mais je reprends gentiment goûts aux livres qui l’abordent, et ici cela reste une image de fond.
Le récit est très fluide et agréable à lire, de plus vu que l’on retrouve des photos les pages se tournent très vite, et ces photos apportent un gros plus à l’histoire, elles la concrétisent en quelque sorte, on a vraiment envie d’y croire vu que c’est sous nos yeux.

Au niveau de l’intrigue je me suis totalement fait avoir, dans le bons sens, car je n’avais pas imaginé ça. Je pensais être en 1940 avec ces enfants particuliers, - j'avoue je n'ai que légèrement survolée la 4ème de couverture - alors que l’on va rencontrer Jacob qui est le petit fils d’un de ces enfants particuliers. Après un événement important le jeune garçon va se rendre sur l’île ou son grand-père a passé tant d’années en compagnie de ces enfants. L’histoire se met très vite en place et nous permet d’avancer d’autant plus rapidement dans le récit, c’est agréable car on n’a pas besoin d’une centaine de pages (le livre en compte plus de 400) pour être au cœur de l’action.
Les personnages sont fascinants. Jacob m’a tout de suite touchée, pour sa sensibilité et l’amour qu’il porte à son grand-père. Et d’un autre côté on le découvre en tant que jeune homme très courageux finalement, car même s’il ne se croit pas capable d’aller seul dans cette maison abandonnée, il le fait, et pour moi ça c’était du courage, car je n’y aurais pas mit un orteil. Froussarde un jour, froussarde toujours. Puis la découverte des enfants particuliers et de Miss Peregrine se fait petit à petit, on les découvre aux fils des pages, et la vieille dame répond aux questions que l’on se pose depuis le début du livre. Progressivement on comprend chaque petits détails, et tout amené très juste et ne détonne pas avec le reste de l’histoire.

C’est un univers qui propose quelque chose d’un peu nouveau. Un mélange d’historique et de fantastique que l’auteur arrive parfaitement à gérer. L’atmosphère est lourde et fait sursauter plus d’une fois. Quand l’île est plongée dans un brouillard constant, qu’il n’y a qu’un seul téléphone pour tous les habitants et que les trois quart des gens qui y habitent sont des ivrognes, personnellement je n’y passe pas la nuit. Ce bout de caillou a tout pour être inquiétant et mettre son lecteur mal à l’aise. Mais c’est le but, et cela rend très bien. On frissonne de plaisir.

Un coup de cœur, et ça faisait longtemps. Comme ça fait du bien d’à nouveau trembler pour un bouquin, celui que l’on lit partout, tout le temps, même en marchand. Ransom Riggs a selon moi réunit tous les bons ingrédients d’un livre qui mérite d’être lu.  


dimanche 7 juillet 2013

Cruelles

Auteur : Cat Clarke
Editeur : Robiert Laffont
Collection :  R
Parution : 6 juin 2013
Pages : 432
EAN-13 : 9782221134092

Alice King, 16 ans, part avec sa classe pour un séjour en Écosse. Elle ne s'attendait pas à des vacances de rêve, mais jamais elle n'aurait pu imaginer la tournure cauchemardesque que vont prendre les événements.

La jeune fille et sa meilleure amie Cass se retrouvent à devoir partager un chalet avec Polly, l'asociale de service, Rae, la gothique bipolaire, et Tara, la reine des pestes. Populaire, belle et cruelle, cette dernière prend un malin plaisir à humilier les autres à longueur de journée.

Mais Cass compte bien profiter de cette semaine au vert pour donner à Tara une leçon qu'elle n'est pas prête d'oublier. Avec l'aide de ses camarades de chambrée.

Le vent a tourné pour la reine du lycée. L'heure de la revanche a sonné...


Mon avis

Les avis ont beaucoup fait parler de ce livre, du coup la tentation était à son comble. Après un emprunt au magasin, me voilà plongée dans Cruelles... 

Enfin un tome unique, un livre sans suite. De plus en plus de séries en tout genre, et on se retrouve à en suivre trop à la fois. Même si c'est plaisant, un one shot c'est pas plus mal des fois. Cat Clarke ne me tentait pas du tout avec son précédent livre publié chez Robert Laffont dans leur super collection R, Confusion. L'auteur est abonnée aux titres d'un seul mot, Cruelles n'échappe pas à la règle, et pour le prochain ce sera pareil vu que son roman prévu pour octobre 2013 chez nous s’appellera Revanche

Je suis très déçue de la traduction de la part de Robert Laffont. En effet on retrouve de belles petites coquilles tout au long de notre lecture, comme des petites incohérence quand Rae se transforme en Polly le temps d'une phrase et j'en passe. C'est vraiment dommage. Les coquilles peuvent passer, sauf quand le livre en est truffé, on se demande que fait l'éditeur durant la relecture. De plus que cette collection est une collection ado, young adult, pour des jeunes, et que si en plus on leur propose des textes avec des fautes d'orthographe, je trouve ça très moyen et ça fait une mauvaise pub pour la maison. 

A part ça, le style de Cat Clarke est très sympa. Bien que j'en attendais un peu plus. Mais ça c'est autre chose que le style. Ses personnages sont bien dépeints, bien décrits mais pour certains j'en voulais plus, comme le père d'Alice, ou Rae. Des personnages très présents mais avec une histoire au second plan, leur accorder un peu plus d'attention aurait permit à l'histoire de respiré un peu plus. Pourtant aucun doute, l'histoire principale est bien menée. On entre dès les premières pages dans le vif du sujet, pour ne jamais en sortir. 
La farce dont Tara était la cible est finalement beaucoup trop courte, beaucoup trop prévisible. C'est ce qui se passe après qui est très intéressant au final, mais c'est vrai que quelque chose de plus innovant aurait été le bienvenue. 

Un secret trop lourd à garder. Et quel secret! On se doute bien, une fois le livre entre les mains, l’ampleur qu'à ce secret, mais rien n'y fait on arrive pas s'imaginer de vivre avec ce secret. Le principal attrait est de voir comment chacune d'entre elles vivent cette situation différemment. Je me suis personnellement beaucoup attachée aux personnages de Rae, Alice et Danni, tandis que Casse et Polly me sont très vite devenue insupportables. Je trouvais les trois filles très touchantes et réalistes dans leurs réactions. On arrive à se projeter en elles. 

Un bon roman, qui malheureusement perd un peu de son charme à cause des fautes.

La Belle et la Bête

Auteur : Gabrielle-Suzanne de Villeneuve
Editeur : Gallimard
Collection : Folio 2euro. Femmes de lettres
Parution : 30 avril 2010
Pages : 134
EAN-13 : 9782070349593

« Le monstre se fit entendre. Un bruit effroyable, causé par le poids énorme de son corps, par le cliquetis terrible de ses écailles et par des hurlements affreux, annonça son arrivée. En voyant approcher la Bête, qu'elle ne put envisager sans frémir en elle-même, la Belle avança d'un pas ferme, et d'un air modeste salua fort respectueusement la Bête. Cette démarche plut au monstre et, se retournant vers la Belle, il lui dit : " Bonsoir, la Belle. " »


Mon avis

Pour avoir lu et relu l'histoire de La Belle et la Bête, qui est certainement mon compte préféré, je commence à le connaître par coeur. Le Disney forcément, une réécriture de Robin McKinley qui avait été un gros coup de coeur et bien sur la version de Madame Leprince de Beaumont. Bref je le connais sur le bout des doigt. Mais je ne me lasse pas de le redécouvrir sous des styles différents.  

Cette version n'est certes pas ma préférée, mais elle était dans ma Wish depuis tellement longtemps, rien que pour la couverture que je trouve sublime elle en vaut la peine. Pourtant le style est peut être trop poussé et les détails trop généreux, ce qui nous distrait un peu de l'histoire de base. 
De plus la deuxième partie est beaucoup trop fantaisiste, bien que je n'ai rien contre, je trouvais le tout un peu trop tiré par les cheveux pour le coup. 

Le personnage de la Belle reste le même, une fille qui reste simple, ne craint pas le sacrifice et saura voir le véritable visage de la Bête. Ce personnage là était selon moi trop effacé durant son apparence bestiale dans l'histoire. Et c'est bien dommage. 

En bref, à nouveau je suis ravie de relire cette histoire, car elle me touche toujours autant. Mais la version de Robin McKinley reste ma favorite.


Rêve d'amour

Auteur : Laurence Tardieu
Editeur : Le livre de poche
Collection : Le livre de poche
Parution : 14 janvier 2009
Pages : 156
EAN-13 : 9782253126133

Nous sommes le 21 juillet 2006. Il est vingt heures. Je m'appelle Alice Grangé. J'ai trente ans. Gérard Oury est mort hier.

Tout cela est certain. Vérifiable. Le réel. Je marche vers un homme que je ne connais pas. Ça encore, le réel. Cet homme a aimé ma mère. Ma mère a aimé cet homme. Je n'en suis déjà plus sûre. Cet homme va me parler de ma mère. Je ne sais pas. Je vais retrouver quelque chose de ma mère. Je ne sais pas. Les choses les plus importantes sont-elles celles que l'on sait, ou celles que l'on cherche ? Je m'appelle Alice Grangé. J'ai trente ans. Je cherche ma mère.


Mon avis

Ce titre était un livre offert à l’achat de deux livres de poche, comme les gratuits nous restent en général sur les bras, j’avais demandé pour le prendre. Rien qu’à voir la couverture vous, vous doutez bien qu’il me faisait envie. 

L’écriture est magnifique. On a l’impression de glisser comme dans un ruisseau peu profond qui nous emmènerait vers une destination inconnue mais que l’on sait d’avance qu’elle sera belle. C’est un peu du chinois ce que je vous baragouine là, mais c’est comme ça que je l’ai ressentie durant mes deux jours en la compagnie d’Alice. Le sujet traité est quant à lui très dur, surtout pour quelqu’un qui a toujours connu sa mère et qui a toujours eu beaucoup de complicité avec elle. La perte d’une mère est atroce, même dans le cas ou on l’a peu connu. 

Alice est une trentenaire un peu perdue dans ce monde ou elle n’a plus ni mère, ni père. Mais avant de mourir ce dernier lui donne le nom du dernier homme que sa mère a aimé. Commence alors une recherche, dans la douleur et l’incertitude pour Alice. On la découvre sous son côté enfantin, gamine seule qui a du grandir avec son père dans un silence parfois lourd comme apaisant. Elle porte des robes bleues car ça lui rappel sa mère, elle veut écrire des livres pour enfant alors qu’elle n’en a pas. J’ai eu l’impression durant ma lecture qu’elle avait toujours le cul entre deux chaises, pour dire vulgairement. Elle hésite beaucoup entre aller voir cet homme, cet inconnu, ou alors laisser couler tout ceci et se remettre à vivre pour elle. Tout au long du livre, qui n’est pourtant pas gros, j’ai eu l’impression qu’elle était en dehors du cadre de l’humanité, comme si elle flottait dans une autre dimension, pas totalement absente mais pas totalement présente non plus. Certaines banalités lui passent à travers sans la toucher. J’ai aimé ce personnage. Bien que j’en sois très éloigné elle a su me parler. Comment peut-on vivre aisément l’absence d’une mère ? Pour certains ce n’est pas un schéma inconnu, mais pour moi cela serait totalement impossible. 

C’est aussi une belle remise en question que nous offre le personnage d’Alice mine de rien. Je pense aux fois ou la vie commune avec mes parents n’étaient pas tous les jours évidents, et finalement la chance d’avoir une famille pour veiller sur vous, vaut beaucoup plus. 

Une très belle lecture. Car oui finalement Alice ne rêve que d’amour, un amour maternel qu’elle n’a que très peu connu, celui qui lui a été enlevé trop vite. Un amour que nous méritons tous.

mardi 2 juillet 2013

Graceling, tome 1 : le don de Katsa

Auteur : Kristin Cashore
Editeur : Le livre de poche
Collection :Le livre de poche
Parution : 11 mai 2011
Pages : 414
EAN : 9782253157632

Dans les Sept Royaumes, on les appelle les Graceling – des êtres rares, dotés de pouvoirs incroyables. Katsa, elle, peut tuer un homme à mains nues et son oncle, le roi des Middluns, l’oblige à assassiner pour son compte. La rencontre de la tueuse avec le prince Po, un autre Graceling, va changer le cours de son existence… Née en Pennsylvanie il y a un peu plus de trente ans, Kristin Cashore se place d’emblée, avec ce roman traduit dans plus de vingt-cinq langues et récompensé par de nombreux prix, parmi les meilleures plumes de la fantasy anglo-saxonne.Ce volume propose un texte inédit de Kristin Cashore.



Mon avis

Je ne sais plus comment ce livre était arrivé dans ma wish, mais il y était depuis longtemps, et il a également fait pas mal de temps dans ma PAL.

Kristin Cashore nous propose un univers ou les personnes ayant des yeux vairons possèdent un don particulier. Le concept est innovant et permet de broder beaucoup autour des personnages du roman. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé, car le style est assez plaisant, pas trop de blabla pour ne rien dire, ni trop de détails ennuyants qui se veulent intéressants, mais il me manquait quelque chose pour que le roman devienne vraiment palpitant.

Katsa est pourtant un personnage comme je les aime. Son don de Graceling lui prodigue une force surhumaine. Elle est donc la personne la plus forte du royaume de son oncle et ça le tonton il l’a bien comprit. Depuis une fatale erreur de la jeune fille il l’a tient en sa possession et n’hésite pas à lui faire faire tout le sale boulot. Mais Katsa ne reste pas longtemps de cet avis, et c’est à ce moment là qu’elle entre réellement dans mon estime. Kristin Cashore offre à son personnage une vraie personnalité de guerrière. Un peu trop bourrine à certains moments, elle n’est par contre pas du genre à ne pas réfléchir avant d’agir. Très vite nous allons également rencontrer un autre personnage Graceling, le prince Po. Plus posé que Katsa il arrivera, en général, à calmer la jeune femme dans ses accès de colère. La complicité entre les deux personnages grandi très vite, un peu trop peut être, mais reste très charmante. Forcément, alors que Katsa ne veut même pas penser au mariage elle craquera pour le prince sans le vouloir. Mais la fin, qui aurait pu être toute tracée comme je l’avais imaginé dans ma tête, nous offre un rebondissement auquel on ne pouvait pas s’attendre, ce qui offre probablement quelques places dans le classement de ce livre.
Il reste encore un personnage important qu’on n’a pas beaucoup la possibilité de découvrir, mais heureusement elle a un tome qui lui est consacré, c’est la jeune princesse Bitterblue qui va faire la connaissance des deux Graceling à un moment peu agréable. Princesse, elle ne reste pourtant pas une demoiselle en détresse très longtemps. Très vite elle veut apprendre à se battre, et porte Katsa au rang d’icône plus d’une fois.

Finalement le tout aurait pu être réellement génial, mais le problème est peut être que l’on survole un peu trop les moments les plus intéressants et les plus passionnants du roman. Certains problèmes sont bien vite résolus et n’ont pas l’air de déranger plus que cela les protagonistes du roman. On peut avoir envie d’en savoir plus, j’ai trouvé pour ma part que tout était trop simple.
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