jeudi 28 février 2013

Atlantis, tome 2 : La reine noire

Auteur : Madeleine et Christine Féret-Fleury
Editions : Le livre de poche jeunesse
Collection : Fictions
Parution : 20 juillet 2011
Pages : 329
EAN-13 : 9782013229944

À la porte de l'Atlantide, Adel est accueillie par un homme qui ressemble à son père défunt. Bouleversée, la jeune fille apprend aussi que l'univers des Atlantes se nourrit d'une réalité parallèle : chacun de ses habitants est le double d'un être humain. La jeune fille n'est pas au bout de ses surprises. Elle est elle-même le sosie de Léda, la fille du roi. Or, cette dernière a été enlevée par la reine noire, et seule Adel peut la sauver...


Mon avis

Lors de ma lecture du premier tome, je me souviens m'être fait totalement embarquée dans cet univers enchanteur et magique. Atlantis faisait partie de ces livres qui vous fait oublier tout le reste, tout ce qui vous entoure n'a plus aucune importance. (Attention, ça peut vous faire sortir à la mauvaise station de train). J'en attendais donc de même de ce second tome... mauvaise pioche.

Je suis toujours dans l'incompréhension totale concernant les tomes deux qui m'ennuient, alors que les premiers tomes m'ont totalement séduites. En règle général on se dit que le deuxième volume sera plus simple à écrire car c'est "simplement" une suite logique aux aventures commencées dans le tome un. Il faut croire que non. Malheureusement on débarque directement dans un quotidien très rébarbatif et ennuyant. L'écriture est, si c'est possible, encore plus simple que dans le premier, on avance lentement. Même si j'ai habituellement beaucoup de facilité à me mettre dans la peau de jeunes lecteurs qui ont besoin de livre écrit pour eux, cette fois ci je pense que même un enfant ce serait tourné vers autre chose au bout de 100 pages. 

Dès les premières pages on voit ou veulent en venir les deux auteurs, ce qui ne nous laisse aucune surprise. J'ai donc sortie ma botte secrète "le-livre-m'ennuie-mais-je-veux-tout-de-même-le-lire", j'ai lu en diagonale, c'est à dire uniquement, ou presque, que les dialogues. On ne peut pas dire que l'histoire ou l'intrigue soit mauvaise, c'est juste qu'on ne retrouve aucuns rebondissements, que si les auteurs avaient pu mettre un peu plus de suspens, on se serait moins embêté. 

Les personnages sont de plus en plus barbants. Moi qui était en mode fan d'Adel, je l'ai trouvé ultra glaciale. Elle possède le syndrome Potter  (maladie trouvé et nommé par moi-même), c'est le héros qui se sacrifie et montre fièrement qu'il aime se sacrifier, alors qu'il a une horde d'amis qui sont prêt à tout pour lui venir en aide, mais non, le détenteur de ce syndrome ne veut que se sacrifier lui-même. En gros on a envie de lui dire qu'il arrête de faire sa pauvre petite chose et qu'il accepte l'aide qu'on lui donne.
Et pour les autres, ils se raplatissent tous de plus en plus, jusqu'à être totalement dégonflés.

La phrase qui sauve tout, c'est bien sur la dernière! Celle qui vous oblige presque à débourser pour le tome trois que vous n'auriez pas acheté s'il n'y avait pas cette phrase là. Donc juste pour savoir, on ne se jette pas sur la fin, mais on a bien envie de la connaître quand même.

mercredi 20 février 2013

La septième vague

Auteur : Daniel Glattauer
Editions : LGF
Collection : Le livre de poche
Parution : 28 mars 2012
Pages : 279
EAN-13 : 9782253163091


Leo Leike était à Boston en exil, le voici qui revient. Il y fuyait la romance épistolaire qui l'unissait en esprit à Emmi. Elle reposait sur trois principes : pas de rencontre, pas de sexe, pas d'avenir. Faut-il mettre un terme à une histoire d'amour où l'on ne connaît pas le visage de l'autre ? Où l'on rêve de tous les possibles ? Où les caresses sont interdites ? «Pourquoi veux-tu me rencontrer ?» demande Leo, inquiet. «Parce que je veux que tu en finisses avec l'idée que je veux en finir», répond Emmi, séductrice.

Alors, dans ce roman virtuose qui joue avec les codes de l'amour courtois et les pièges de la communication moderne, la farandole continue, le charme agit, jusqu'au dernier mail...


Mon avis

J'avoue que je n'ai pas lu la quatrième avant ma lecture, je la découvre en fait maintenant que j'écris mon avis  dessus. En effet, on entrait dans Quand souffle le vent du nord avec un roman uniquement épistolaire. Ca change, c'est innovant alors que nous sommes dans l'ère des communications de plus en moderne le fait d'écrire sous format d'échange n'est pas très répandu. 

Daniel Glattauer sait manier le langage mail à la perfection. Important, vu que tout son roman repose sur un dialogue continu. Il ne faut surtout pas perdre le lecteur et savoir le garder accrocher à cette seule action qui est un échange de mail. De messages entre deux personnes qui ne se sont jamais vu. Donc on souligne une fluidité parfaite dans l'écriture, qui nous permet de suivre aisément cet échange. Glattauer sait utiliser les mots de ses personnages pour nous faire passer du rire aux larmes, du malaise au soulagement. 

Alors que dans Quand souffle le vent du nord, on découvre nos deux personnages qui commencent à s'écrire par hasard, dans La septième vague, c'est un retour, une rupture qui essaye de se faire oublier. J'ai trouvé Leo et Emmi beaucoup plus acerbe et prêt à chercher la petite bête, lancer des petites piques qui, ils le savent, feront mal, vont déranger l'autre. Contrairement au premier, ou leurs échanges étaient plus doux, plus mignon et peut être plus diplomate. On comprends très vite ou ils veulent en venir, mais aucun des deux n'est prêt à faire le premier envers l'autre. Et alors? Est-ce que cela donne un coup de moue au roman? Absolument pas. Car on veut savoir par quoi ils vont passer, que vont ils s’infliger encore. 

J'avais peur que le genre épistolaire s'essouffle et que l'auteur passe éventuellement quelques partie sous format romancé. Heureusement que non! Même quand il se passe huit jour sans message, on apprend les nouvelles comme les deux protagonistes, en même temps qu'eux. 
Je suis très contente d'avoir retrouvé Leo et Emmi, de les avoir lu à nouveau de m'être plongée dans leur histoire, comme si j'étais une intruse, une étrangère dans leurs boites mails. Une belle aventure. 

C'est lundi que lisez-vous ? 38


Lecture passée : 
Une petite déception pour Orianor de Jean Avril, je m'attendais à plus passionnant, mais je compte tout de même lire le second tome, pour en apprendre plus.

Lecture actuelle:
La septième vague de Daniel Glattauer, forcément, j'accroche, vu que c'est la suite de Quand souffle le vent du nord

Et pour la suite ?
Atlantis le tome 2 La reine noire de la famille Féret Fleury, car j'avais vraiment croché avec le premier tome.

Orianor, tome 1 : La cité des sept murailles

Auteur : Jean Avril
Edition : Cima
Collection : -
Parution :
Pages : 116
EAN-13 : 9782924077009
Site de l'auteur : orianor.com


Rihel, la Cité aux sept murailles, agonise dans les flammes : quarante années de siège, pour une poignée de cendre…
Depuis des millénaires, les humains sont en guerre contre les forces de So’Ghol, la Montagne Noire. Après la chute de Rihel, un seul Trône reste encore aux mains des humains : celui de la Citadelle de Céless, coeur du royaume de l’Endriel. Beaucoup disent que la situation est sans espoir, et pourtant plusieurs se tiennent encore debout, déterminés à poursuivre l’oeuvre de résistance. Ensemble, ils continuent d’écrire une épopée traversant les âges.
Les voici qui s’avancent : Kahel, chevalier de l’ordre des ivataris, mages ayant pour arme la lumière. Blanc, un enfant qui a désormais un empire contre lui. Jad, Iridia et Raygone, jeunes héros répondant à l’appel de l’Endriel, l’ultime rempart du monde libre, sur le point de tomber entre les griffes de l’envahisseur. Et Uriss, ancien roi amené en esclavage au coeur de la Montagne Noire pour y rencontrer un sort tragique : être enchaîné à son pire ennemi, par une chaîne lui faisant subir les souffrances qu’il inflige à l’autre…


Mon avis

En recevant le message de Jean Avril me proposant le tome 2 de son roman, et de par la même occasion découvrir le premier, j'étais très enthousiaste face à cette lecture. Une couverture certes moyenne, selon moi, pour le premier volume, mais je n'allais pas me laisser avoir par mes préjugés d’esthétisme. En effet, je ne me serais jamais avancée vers ce livre sur une table de librairie, et je n'aurais probablement jamais regardé sa quatrième. Mais je me suis fiée aux nombreuses chroniques qui existent déjà, et me voilà partie dans l'univers d'Orianor

Oui, j'avais envie de tombée sur un livre envoûtant  qui m'attirerait dans ses contrés et me ferait oublier le reste du monde dès que j’entrouvre les pages. Ce fut le cas au début. En effet on découvre ce monde, on arpente les lignes avec avidité, avec l'envie d'en apprendre toujours plus, de comprendre ces personnages de les connaître par coeur. Mais l’enthousiasme des premières pages, c'est malheureusement épuisé quand j'ai comprit que je ne crochais pas. Pourquoi? Pour moi il y a un cruel manque de détails, ou des détails mal placés. On découvre certains personnages, et au bout d'un moment je les confondais avec les noms des lieux, je n'avais plus aucun reperd, les personnages et les endroits n'avaient pour moi pas assez d'histoires pour qu'ils me deviennent attachants. J'ai persévéré jusqu'à la fin, et plus j’avançais plus je comprenais pourquoi ce livre ne contenait que si peu de pages, il n'étais pas assez étoffé.

Pourtant on a envie d'en savoir plus, de découvrir ce monde de chaos qui mérite un héros. Mais la mayonnaise n'a pas prit, je me suis retrouvée comme une étrangère face à ces personnages et intrigues, alors que j'aurais voulu chevauché à leurs côtés.
Impossible de visualiser comme il se doit une scène entre deux personnages, comprendre ou ils se trouvent, comme se déroule la situation. J'avais un regard très flou, et cela a en effet perturbé légèrement ma lecture.

Mais je ne ressors pas vaincu de ce premier tome. Car l'histoire est présente, et on a envie coûte que coûte de découvrir la suite, de savoir comment ils vont s'en sortir, de continuer à suivre ces héros. On sent un réel potentiel.

dimanche 10 février 2013

L'Epouvanteur, tome 9 : Grimalkin et l'Epouvanteur

Auteur : Joseph Delaney
Edition : Bayard
Collection : -
Parution : 24 janvier 2013
Pages : 315
EAN-13 : 9782747045018
Chroniques : Tome 8, Tomes 1-7

Attention !

Histoire à ne pas lire la nuit...

Regarde, tu saignes ! La mort guette. La douleur est terrible. Ton ennemi s'avance, prêt à prendre ta vie. Est-ce la fin ? Es-tu vaincue ? Non ! le combat ne fait que commencer. Crois-moi, je sais de quoi je parle. Je suis Grimalkin. 

Attention aux éventuels spoiler de la 4ème ou de mon avis.

Détruire le Malin, c'est le but que s'est fixé Grimalkin, pour venger le meurtre de son fils. Après avoir aidé Thomas Ward et l'Épouvanteur à entraver le démon, en Irlande, elle a regagné le comté. Elle doit à tout prix conserver, enfermée dans un sac, la tête coupée du Malin afin de garder sous contrôle son esprit maléfique. Grimalkin, la tueuse du clan Malkin, est puissante, et son seul nom suffit à inspirer la crainte.

Mais les serviteurs de l'obscur sont à ses trousses. Ils emploieront tous les moyens pour lui reprendre son horrible et précieux fardeau.


Mon avis

Enfin! Oui mon avis pourrait se résumé à ça, mais forcément j'ai envie d'en dire plus. Imaginez bien que dès la parution de ce neuvième opus je me suis jetée dessus, terminé Charley Davidson et hop je me devais d'enchaîner sur l'Epouvanteur, pas le temps de le laisser prendre la poussière dans la PAL, non non, il ne mérite qu'une lecture direct, surtout après le coup d'éclat du tome 8. 

Donc comme toujours on se retrouve embarqué dans l'univers moyenâgeux de Joseph Delaney qui au bout de 9 volumes de sa saga aura crée un véritable phénomène, ou tout est possible. Tellement possible qu'il écrit des bestiaires et des ouvrages bonus sur les sorcières que l'on croise ou non dans sa saga. Au bout de tout ce temps on pourrait croire que le style s'essouffle, que le rythme ralentit et que le dynamisme n'anime plus avec autant de frénésie les pages de ses livres. Que nenni. On est toujours aussi enchanté de retrouver personnages et atmosphère. 

Et le petit plus mais également le challenge de l'auteur dans ce tome ci, est de laisser de côté Tom Ward l'apprenti Epouvanteur plus si apprenti que ça (et le personnage principal des livres tout de même) et son maître John Grégory. Pour ma part ce fut un vrai régal de me retrouver en permanence avec l'un de mes personnages favoris de la série, le genre de personnage très noir mais pour le quel je me suis découvert un véritable attachement. Je veux bien sur parler de la sorcière tueuse du clan des Malkin; Grimalkin. Moi qui l'imaginais toujours comme une vraie sorcière (c'est à dire vieille, nez crochu et chat noir) je découvrais au fil des tomes un personnage fort, jeune et audacieuse. Alors quand à l'annonce du tome 9 j'apprends qu'elle en sera le personnage centrale, je suis ravie. 
Pour moi c'est un pari gagné, car Joseph Delaney nous en apprend plus sur elle, on découvre beaucoup de son passé et de ses motivations à tuer. Alors du coup forcément on avance pas beaucoup dans l'histoire car au final ce tome est une constante course poursuite entre le mal et le mal (oui, oui c'est possible). Le véritable attrait est donc de creuser la personnalité de cette sorcière tueuse qui soudainement s'allie à ses "ennemis". 

Si on a aimé le reste de la série, on va bien sur aimé celui-ci, bien qu'il stagne un peu plus dans un schéma routinier que les autres. Quelques longueurs auraient pu être évités et du coup nous faire avancer plus rapidement dans l'intrigue. Mais on garde le smile, car au final on en apprend tellement sur Grimalkin que cela gomme tous les autres petits défauts. Bref vous l'aurez compris depuis le temps que je suis gaga de cette saga, je ne peux qu'aimer de volume en volume. Maintenant le gros bémol... c'est qu'il faut attendre une année avant la suite !!! Alors on croise les doigts pour que Bayard traduise et sorte Le bestiaire de l'Epouvanteur avant l'été. Ca serait sympa les gars. 

mercredi 6 février 2013

C'est lundi que lisez-vous ? 36

Lectures passées 
Un beau conte, comme ça en milieu de semaine avec Gothic Faërie de Séverine Pineaux. Et gros coup de coeur pour Charley Davidson qui m'a conquise sur tous les points.

Lecture actuelle
Enfin la suite des aventures de l'Epouvanteur. Et comme le tome 8 nous laissait en plein suspens, je suis contente d'avoir le tome 9.

Et pour la suite?
Un partenariat avec l'auteur Jean Avril qui me permet de découvrir son univers grâce à ses deux tomes d'Orianor, je me lancerais dans le premier dès cette semaine normalement.


lundi 4 février 2013

Charley Davidson, tome 1 : Première tombe sur la droite

Auteur : Darynda Jones 
Editions : Milady
Collection : Bit-Lit
Parution : 12 juillet 2012
Pages : 428
EAN-13 : 9782811207946


Vous savez, ces mauvaises choses qui arrivent aux gens bien ? c'est moi.

Mon nom c'est Charley et je suis la Faucheuse. Les morts, je connais : j'en vois depuis que je suis née. Des fois, je les aide à faire des trucs du genre laisser un mot à leurs proches ou traquer leur assassin... Ça tombe bien parce que je suis aussi détective privée ! Pratique, non ? Ce qui l'est moins, c'est que les gens autour de moi ont du mal à y croire. Comme Swopes, l'agent avec qui je bosse : je voudrais qu'il me lâche un peu la grappe.

Cela dit, je pourrais le gérer si je n'avais pas d'autres chats à fouetter... comme ce bel inconnu qui vient me rendre visite toutes les nuits dans des rêves torrides et dont j'aimerais bien découvrir l'identité...

« Le meilleur premier roman que j'ai lu depuis des années ! »
J.R. Ward, auteure de La Confrérie de la dague noire


Mon avis

Premier Milady, et le coup de coeur! Pourtant il ne partait pas gagnant avec moi comme lectrice. Mais le fait est que le tout qui forme ce premier tome m'a conquise. 

Darynda Jones possède ce petit quelque chose qui apporte beaucoup à un livre. Une plume qui glisse toute seule, une trame qui avance avec beaucoup de rythme et énormément de dynamisme, jamais aucune scène ne reste statique ou sans intérêt, les longueurs sont inexistantes. 

On entre avec facilité et surtout rapidité dans la vie mouvementée de Charley Davidson, jeune femme au dont particulier de voir et parler aux morts. D'autant plus qu'elle est détective privée, que la moitié de sa famille travaille dans la police et qu'elle craque sur un inconnu qu'elle voit en rêve, à part ça la vie de Charley est totalement banale. Ok, le fait de pouvoir parler aux morts, permet à son oncle, policier donc, de pouvoir résoudre beaucoup plus facilement ses enquêtes. Mais pas toujours évident de ne pas être ridicule quand on se fait surprendre en train de parler toute seule. Pourtant Charley n'en démord et prend son travail très à coeur, un peu trop des fois. 
Pourquoi on adore ce personnage? Simple! elle est juste parfaite. A la fois warrieuse et jeune fille fragile, elle est le genre de personnage féminin aux quels on s'accroche car elle possède ce savant mélange d'humour, de répartie, d'endurance et de fragilité. On aime, on adore! Elle est des plus attachante. Comme tous les autres personnages, surtout le bel inconnu de ses rêves qui n'a rien a envié à Monsieur Grey (quoi je parle beaucoup de lui dans mes chroniques? C'est faux! Ok c'est vrai, mais je l'accepte). On envie ses rêves et on bave à chaque fois qu'elle ferme les yeux. Ohhh Reyes.... Ensuite que ce soit les personnages morts ou vivants ils sont tous très bien travaillés et abordés. 
Peut être un des bémols de ce premier tome et le fait que Charley se fait tout de même souvent taper dessus. Mais elle se relève toujours très vite et repart de plus belle combattre le crime. 

On mélange bien sur ce genre avec des enquêtes policières comme souvent d'ailleurs, mais on entre jamais dans le cliché. Le dénouement de se premier roman est très bien amené et n'entache en rien l'intrigue de base qu'est "l'inconnu des rêves de Charley", qui est-il? Comment va-t-il s'en sortir? On a hâte de lire le tome deux pour en savoir plus, car jusque dans les dernières lignes de ce premier volet on reste en alerte. Bref, un sans faute! 



Gothic Faërie

Auteur : Séverine Pineaux
Editions : Au bord des continents
Collection : -
Parution : 23 novembre 2011
Pages : 79
EAN-13 : 9782919089147

La quête amoureuse de Moire, l'ultime représentante des peuples de féerie, à travers le monde et les époques, de l'Angleterre victorienne au Paris des Années folles, jusqu'à Manhattan dans un New York rêvé et futuriste.


Mon avis

Choisit uniquement pour son titre et sa couverture énigmatique, je croyais d'abord que ce livre était un annuaire de Gothic Faërie. Je me suis retrouvée face à un conte romantique et poétique.

Séverine Pineaux allie à la perfection illustrations magiques et histoire enchantée. On entre dans un monde ou la magie risque de se perdre si l'homme continu de prendre de l'ampleur. Les mots sont de trop pour ce genre d'ouvrage. Alors place aux images, elles parlent bien mieux que n'import quelle chronique. 










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