Auteur : Pierre Bottero
Editeur : Rageot
Collection: -
Editeur : Rageot
Collection: -
Parution : 20 octobre 2010
Pages : 206
Deux êtres qui s'aiment mais qui se déchirent, une fillette Léna que personne ne semble voir, presque transparente, une ville ordinaire menacée par la Nuit, par l'obscurité, la mort. Une comptine douce, lancinante résonne, qui tout au long du récit revient, repousse la Nuit, la Mort.
Le lendemain, la végétation semble avoir pris possession de la ville et de belle manière partout arbres, fleurs, plantes se sont transformées en géants luxuriants.
Et puis des êtres étranges apparaissent : Burph le Sprite sorte de lutin au bonnet sans fin, Sil l'elfe et Leucémia.
Mon avis
Ou comment ne pas craquer pour l'une des œuvres posthumes de Pierre Bottero ? Avec les illustrations de Gilles Francescano, le Chant du Troll gagne tout de suite une grande place dans mon palmarès.
Rien à redire sur l'écriture, Bottero nous surprend, encore et toujours à travers cette histoire. Les événements s'enchaînent, et nous restons très longtemps dans le flou. Quel est ce basculement ? Ces personnages sortent-ils de Gwendalavir le monde que Bottero avait construit de toutes pièces avec les premiers Ewilan ?
Mais tout repose sur le rôle que joue Léna dans cette histoire. Cette petite fille qui va devoir affronter ces peurs et les vaincre, mais pas toute seule... Les personnages sont à la hauteur de ceux qu'avait déjà inventés Bottero. Pour les grands fans, arrivé aux dernières pages vous comprendraient tout, voir même avant. Tout devient très clair au fil des pages. L'idée est très original, je ne m'attendais pas à cela je dois dire. Mais comment vous en parler sans tout dévoiler ? C'est impossible.
Grâces aux illustrations, l'ambiance et les décors ressortent avec précisions. C'est empli de couleurs et de vie. La nature et l'Imaginaire prennent petit à petit le dessus sur la ville et ses habitants, sans que ceux-ci s'en rendent compte.
Je sais que c'est un avis un peu brouillons, mais je ne peux que vous conseiller de le lire, de la regarder et de l'apprécier. J'y suis allé de ma petite larme à la fin, quand tout devient claire. Tout simplement sublime.
Le lendemain, la végétation semble avoir pris possession de la ville et de belle manière partout arbres, fleurs, plantes se sont transformées en géants luxuriants.
Et puis des êtres étranges apparaissent : Burph le Sprite sorte de lutin au bonnet sans fin, Sil l'elfe et Leucémia.
Mon avis
Ou comment ne pas craquer pour l'une des œuvres posthumes de Pierre Bottero ? Avec les illustrations de Gilles Francescano, le Chant du Troll gagne tout de suite une grande place dans mon palmarès.
Rien à redire sur l'écriture, Bottero nous surprend, encore et toujours à travers cette histoire. Les événements s'enchaînent, et nous restons très longtemps dans le flou. Quel est ce basculement ? Ces personnages sortent-ils de Gwendalavir le monde que Bottero avait construit de toutes pièces avec les premiers Ewilan ?
Mais tout repose sur le rôle que joue Léna dans cette histoire. Cette petite fille qui va devoir affronter ces peurs et les vaincre, mais pas toute seule... Les personnages sont à la hauteur de ceux qu'avait déjà inventés Bottero. Pour les grands fans, arrivé aux dernières pages vous comprendraient tout, voir même avant. Tout devient très clair au fil des pages. L'idée est très original, je ne m'attendais pas à cela je dois dire. Mais comment vous en parler sans tout dévoiler ? C'est impossible.
Grâces aux illustrations, l'ambiance et les décors ressortent avec précisions. C'est empli de couleurs et de vie. La nature et l'Imaginaire prennent petit à petit le dessus sur la ville et ses habitants, sans que ceux-ci s'en rendent compte.
Je sais que c'est un avis un peu brouillons, mais je ne peux que vous conseiller de le lire, de la regarder et de l'apprécier. J'y suis allé de ma petite larme à la fin, quand tout devient claire. Tout simplement sublime.
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