Amoureuses Anonymes

Auteur : Jo Piazza

Editeur : Milady

Collection : Central Park

Parution : 12 juillet 2013

Pages : 283

EAN-13 : 9782811210601

Étape n° 1 : Trouvez ce qui cloche chez vous et arrêtez de traîner sur Facebook !

Depuis qu'Eric l'a larguée pour s'envoyer en l'air avec sa secrétaire, Sophie devient dingue. Elle épie leurs moindres faits et gestes sur les réseaux sociaux... Mais quand son amie Annie, après avoir été arrêtée pour conduite en état d'ivresse, est contrainte d'assister aux réunions des Alcooliques Anonymes, c'est le déclic. L'amour est une drogue. Sophie décide d'accueillir chez elle les « Amoureuses Anonymes ». Entre celles qui font une fixette, et les désespérées qui pleurent un ex perdu, elles vont lutter contre les dangers et les dépendances de l'amour...

Mon avis

Petite lecture légère, ce livre ne casse pas trois pattes à un canard, mais est plutôt sympathique et drôle. J'avais besoin de quelque chose Girly, donc je ne m'attendais pas à ce que ce soit le livre de l'année.

Jo Piazza met en scène tout les clichés de la célibataire en manque d'amour. On retrouve forcément un trait de caractère qui nous rappel la fille seule et désespérée qu'on a peut être pu être. Ça fait rire et on se dit "Ohlala, et dire que j'ai agit comme ça, mais qu'est-ce que j'étais bête". Vous l'aurez comprit Amoureuses Anonymes est LE livre Girly à lire après une rupture un peu difficile. On rigole des situations cocasses des personnages et ça fait vraiment du bien.

Sophie - la fille plaquée et même trompée - ne m'a pas grandement marqué. Elle se remet assez mal de sa rupture. C'est en fondant les Amoureuses Anonymes qu'elle va réussir à reprendre sa vie en main. Elle passe de cliché en cliché sans paraître réaliste. Son passe temps favoris c'est trainer sur les réseaux sociaux à espionner son ex et sa nouvelle copine. Ok qui ne l'a jamais fait ? Mais il y a le raisonnable et le trop. Et Sophie tombe rapidement dans le trop. Elle en fait des tonnes, mais même avec ça elle est fade.

Elle possède la maison de sa grand-mère décédée et va y créer un véritable refuge de femmes célibataires. C'est à ce moment là que le roman devient marrant. On imagine une grande maison, style fraternité d'Université, ou une ribambelle de jeunes femmes y vivent et cohabitent ensemble. A ce stade, on peut observer les différentes personnalités entre la princesse qui ne tombe que sur des homosexuels, celle qui est tombée enceinte pour "garder son homme près d'elle" et la prof de Yoga déphasée. Il y a de quoi devenir chèvre.

Ce genre d'ambiance ne serait clairement pas la mienne. Même si les réunions dominicales pour les accros à l'amour m'aurait fait du bien après une rupture, ainsi que les Karaoké endiablé, je ne suis pas du genre à vivre en communauté.

La seule qui m'a vraiment plu et qui n'est finalement pas très présente, c'est Annie. Elle est lesbienne est elle c'est aux Alcooliques anonymes qu'elle doit se rendre. L'amour ce n'est que moyennement son dada et elle n'a pas sa langue dans sa poche. A part une quantité de nana, le roman regorge... en fait non, on y trouve un homme plus ou moins présent. Joe est lui aussi aux Alcooliques anonymes mais aurait également totalement sa place parmi ces dames. Il n'a pas une personnalité des plus marquante non plus. On le laisse vaguement faire des théories, mais il parle pas mal dans le vide.

C'est sur, les protagonistes - Sophie et Joe -  sont un peu invisibles et fades. Finalement ce sont les personnages secondaires qui amusent la galerie et qui réveillent ce roman. Heureusement qu'elles sont là !

L'atmosphère du livre est plutôt bonne enfant. Ca rigole et ça pleur, mais ça se motive aussi. Les différentes "règles" abordés dans le roman ne sont pas toutes si bête que ça. J'ai beaucoup aimé le fait de renommer le nom de son ex dans son téléphone en "Ne surtout pas appeler ce connard" et celui de sa meilleure amie en, le prénom de son ex. Comme ça au lieu de l'appeler, on tombe sur la BFF est c'est toujours plus sympa de l'avoir elle au bout du file, qu'une voix qui nous brise le coeur sur un répondeur.

La fin est un peu "too much". C'est de la grande comédie romantique rose bonbons à paillettes. Mais je n'en attendais pas moins dans un sens. La couverture semble elle-même sortir de La revanche d'une blonde donc il fallait bien une fin qui en soit digne. On plaisante, tout le monde est heureux et FIN !

Globalement un livre sympa, assez drôle, bien que des personnages principaux un peu chiants. Mais les personnages secondaires relèvent clairement le niveau et sont très attachants.

Les avis des copinautes : Jess et d'autres sur la fiche BBM

Struck : Comment foudroyer sa réputation en un éclair

Auteur : Chris Colfer

Editeur : Michel Lafon

Collection : -

Parution : 16 mai 2013

Pages : 301

EAN-13 : 9782749919348

Clover, c'est l'enfer sur terre. Et c'est dans cette ville perdue au milieu de nulle part que Carson est coincé avec sa mère, une déglinguée sous médocs. Il n'a qu'une chose en tête : s'échapper de là au plus vite pour l'université de Northwestern, et commencer une brillante carrière de journaliste. Seulement, pour y être admis, il doit créer un magazine littéraire.

Vaste entreprise que de motiver ses camarades qui ne s'intéressent qu'à l'écriture de textos ! Une seule solution pour les impliquer dans le projet : le chantage. Qu'arriverait-il si le beau gosse du lycée apprenait que sa petite copine pom-pom girl couche avec le coach dans son dos ? Ou que la première de la classe n'hésite pas à envoyer des photos d'elle nue à n'importe qui sur Internet ? Mais à force de jouer les corbeaux, Carson risque de se brûler les ailes...

Mon avis

J’adore Glee ! Oui je sais, information futile. J’adore également le personnage de Kurt, sa voix est sublime et son personnage fait partie de mes préférés depuis le début de la série. Mais alors quand je vois que Chris Colfer écrit, j’en suis  ravie vous, vous en doutez bien.

Il écrit aussi bien qu’il chante, un style qui m’a plu dès les premières lignes. Ce livre se lit comme on visionne un bon film – aucune surprise donc que ce soit aussi un film, avec Chris Colfer dans le rôle de son personnage. Je n’ai pas vu le film, mais j’ai l’impression que oui quelque part, car on visualise parfaitement chaque scène, comme si c’était un film.

Carson est un jeune homme un peu à part dans son lycée paumé. C’est un côté de sa personnalité qui m’a beaucoup plu et énervé à la fois. Passionné d’écriture il sait depuis toujours ce qu’il veut faire dans la vie. Un avenir totalement impossible dans cette petite ville : rédacteur en chef d’un grand journal. Pour entrer dans la fac de son choix son dossier doit être parfait, et savoir tenir un magazine littéraire lycéen obligatoire. Mais comment faire écrire des ados qui ne savent pas aligner trois phrases correctement et qui pensent à tout sauf à lire ou à écrire ? En utilisant leurs failles bien sur. En détenant les secrets les plus honteux de certains il va pouvoir les faire chanter.

C’est cet aspect là qui m’a le plus dérangé on va dire, je ne suis pas de nature à vouloir faire chanter les gens, ou a trouver mon bonheur dans le malheur des autres. Il avait certes des bonnes raisons de le faire, mais je n’ai pas trouvé que c’était la meilleure façon. Mise à part ça, c’est un personnage que j’ai adoré, il n’est vraiment pas comme les autres. On le sent perpétuellement triste et c’est peut être ce qui m’a fait le plus mal au cœur. Il ne se contente que de la perfection, et comme elle est inexistante à Clover, Carson n’est jamais heureux.

A coté de lui il y a Malerie. Sa seule amie, un peu bizarre. Malerie est le personnage le plus drôle du roman. Selon elle tous les auteurs de livres l’ont plagiés, car dans sa tête c’est elle qui inventé Hunger Games et Harry Potter. Tout ce qui sort de sa bouche est invraisemblable et comique. C’est le personnage le moins sérieux du monde, mais elle est à bon fond et n’est finalement pas si bête que ça. Une certaine intelligence pointe à la fin du livre, et elle m’a touchée.

Dans son chantage il découvre des personnalités cachées, des gens qui contrairement à lui ne s’assume pas entièrement et qui préfèrent se cacher derrière une image parfaite, ou une image de gros dur. On découvre les carapaces des différents élèves et on revit un peu nos années d’écoles.

Je voyais vraiment une de ces villes perdue au milieu de nulle part. Clover à l’air d’être désertique et tout le monde semble trouver ça normal. La plupart savent qu’ils resteront là toute leur vie. Et c’est triste. Car personne n’a l’air heureux ici, mais tout le monde s’en accommode. Comme si aucune vie ne pouvait exister ailleurs. 

Un très bon livre. Avec une belle plume, et une histoire bien mené. Le chantage est "marrant", mais comme je ne comprends pas l'intérêt du chantage, je n'ai pas été entièrement séduite. 

Les avis des copinautes : Marinette et d'autres sur la fiche BBM

Les parutions d'avril qui font envie

On peut voir que de mois en mois, les envies doubles légèrement (4 pour le mois de février et 6 pour le mois de mars). Et juste... 12 pour avril. Oui. Normal. On passe aux dates :

• Revivre à Butternut, tome 1 : Mon voisin du bord du lac de Mary McNear chez J'ai Lu - 2 avril 2014

• La pâtisserie Bliss, tome 2 : Une pincée de magie de Kathryn Littlewood chez Pocket Jeunesse - 3 avril 2014

• Des bibliothèques pleines de fantômes de Jacques Bonnet chez Arléa - 3 avril 2014

• L'éveil des Macchabs de Ty Drago chez Bayard Jeunesse - 10 avril 2014

• Soeurs sorcières, tome 2 de Jessica Spotswood chez Nathan - 10 avril 2014

• Falling Under, tome 1 : Vertiges de Gwen Hayes chez Panini Books - 16 avril 2014

• Charme de Sarah Pinborough chez Milady - 18 avril 2014

• Lucy Valentine, tome 1 : Follement de Heather Webber chez J'ai Lu - 16 avril 2014

• 14-14 de Paul Beorn chez Castelmore - 16 avril 2014

• Fracture de Megan Miranda de Pocket Jeunesse - 17 avril 2014

• Charley Davidson, tome 1.5 : Parce que j'ai pêché de Darynda Jones chez Milady - 21 avril2014

• Geek Girl d'Holly Smale chez Nathan - 30 avril 2014

  

Et vous ? Vous craquerez pour quoi ?

L'Epouvanteur, tome 10 : Le sang de l'Epouvanteur

Auteur : Joseph Delaney

Editeur : Bayard

Collection : -

Parution : 20 février 2014

Pages : 318

EAN-13 : 9782747038577

« Je suis Siscoï, le Seigneur du Sang, le Buveur d'Âmes ! Soumets-toi, ou tu souffriras des tourments comme personne n'en a connu ! »

Le Malin s'apprête à lancer contre Thomas Ward le plus puissant, le plus féroce de ses serviteurs, Siscoï, un dieu vampire. Isolé, effrayé, Tom doit trouver le moyen d'empêcher cette créature monstrueuse de surgir dans le monde...

Lapprenti de l'Épouvanteur sait que le temps lui est compte : le combat final avec le Malin est proche. Il ne s'est jamais senti aussi seul face à la tâche qui lui incombe. D'autant qu'il lui faudra consentir à un sacrifice dont la cruauté dépasse tout ce qu'il a pu imaginer...

Mon avis

Saga coup de cœur depuis 10 volumes, Le Sang de l’Epouvanteur nous rapproche de plus en plus de la fin tant attendue.

Joseph Delaney écrit maintenant depuis de nombreuses années, sa série The Wardstone Chronicles avec de nombreux hors-séries et Nouvelles. Son inspiration, on s’en doute, lui vient de son pays l’Angleterre et plus précisément le Lancashire.

Risque de Spoiler sur les précédents volumes

On est au dixième volume, vous pensez bien que cela va être dur de vous en parler sans faire de révélation pour les personnes n’ayant pas encore lu les autres volumes.

Alors que j’avais eu un gros coup de cœur sur le tome 9 : Je suis Grimalkin, Le sang de l’Epouvanteur retombe légèrement dans mon classement. J’ai eu l’impression de lire un des premiers volumes qui nous montre notre apprentie et son maître aux prises avec des créatures de l’obscure. Mais ces créatures sont importantes pour le Malin (qui a toujours sa tête dans un sac) et c’est du coup le côté intéressant du livre. On découvre des êtres qui viennent directement de Roumanie et ça change. Tom Ward et John Gregory ont beaucoup voyagé que ce soit en Grèce ou en Irlande, et là sans bouger du Comté on rencontre des créatures étrangères. Plus on avance et plus on sent qu’elles ne sont pas là pour rien.

J’aime beaucoup que bien et mal se rejoignent contre un mal encore plus grand. Que Grimalkin, la grande tueuse du clan Malkin, se joigne aux Epouvanteurs c’est un peu surnaturel.

On sent une véritable rupture dans ce tome, le flambeau est prêt à être passé entre apprentie et maître. Tom prend de l’assurance et prend certaines décisions par lui-même tandis John est de plus en plus vieux et faible. Personnellement, c’est surtout le personnage d’Alice qui m’intéresse. Depuis toujours elle promet à Tom de ne pas passer du côté obscure et de rester une bonne sorcière, mais son destin est de plus en plus flou et ses pouvoirs deviennent puissants. Une grande révélation nous est faite sur son futur dans ce volume, et Tom ne sait pas du tout comment vivre ce qu’il a vu. On le comprend. Elle devient discrète également, comme si elle acceptait son sort, mais malgré ses sombres pouvoirs elle contribue à aider Tom et John Gregory.

Finalement ce volume était très sympa, mais n’apportait pas beaucoup de réponses sur la suite des événements. On attend donc la suite avec impatience ! Encore 3 tomes avant la fin dont le 12^ème centré sur Alice, c’est je pense celui qui me réjouit le plus.

Si vous n’avez pas encore commencé cette saga formidable je ne peux que vous la conseiller.

Rester vivante

Auteur : Catherine Leblanc

Editeur : Actes Sud Junior

Collection : Ado

Parution : 12 mai 2010

Pages : 108

EAN-13 : 9782742791170

« Je me réveille, déjà en colère. Je veux qu'il se passe quelque chose, rencontrer un garçon, un homme, savoir. Je regarde dans la glace mon visage ingrat, si mal accordé à mes désirs. J'ai besoin de comprendre ce qu'ils fabriquent tous autour de moi, ce qui a l'air si important. J'ai besoin de savoir ce qui court dans mon sang, de si inquiétant. »

À seize ans, Josepha, fille unique, se sent « une erreur ambulante » et voudrait se terrer dans sa chambre indéfiniment. Le monde extérieur l'angoisse. Mais, au cours d'une soirée, elle fait une rencontre aussi belle qu'imprévisible, qui lui laisse entrevoir le « permis de vivre », libre.

Mon avis

Coup de tête d’emprunt de bibliothèque Rester vivante ne restera pas dans les mémoires. Heureusement que c’est court.

Catherine Leblanc a pourtant écrit une série d’album pour enfant que j’adore : Comment ratatiner les sorcières, Comment ratatiner les dragons, etc… Des histoires très drôles sur ce qui fait peur aux enfants. Elle gagne également un prix en poésie jeunesse mais alors quand elle décide de s’essayer à la littérature ado, ben chez moi c’est un flop.

L’histoire de Josepha partait pourtant très bien. Ado à part, dans son monde, qui ne supporte que très moyennement les autres. Je la trouve fragile et spéciale. Mais c’est en avançant dans le roman que je commence à ne plus l’aimer du tout. De fragile elle passe à snob, et de spécial elle devient banale. Son histoire n’a pas de réelle importance, on n’arrive pas à quelque chose de spécial à la fin du livre. Le roman ne prend aucune tournure intéressante et ce qui est censé nous émouvoir et nous surprendre nous passe totalement au dessus et nous fait soupirer.

On commence sur rien et on fini avec pas grand-chose. Dans le genre  roman qui ne sert à rien, il est plutôt pas mal. Au lieu de finir en apothéose sur quelque chose de peut être banale mais de tout de même étonnant, le roman chute proprement.

Sans aucun intérêt, j’attendais beaucoup plus de cette histoire et de cette jeune fille.

  

Lou, tome 6 : L'âge de cristal

Auteur : Julien Neel

Editeur : Glénat

Collection : Tchô!

Parution : 28 novembre 2008

Pages : 56

EAN-13 : 9782723484268

Alors que la ville est transpercée de grands cristaux roses, Lou participe à la collecte d'informations pour le gouvernement. Elle trouve aussi un peu de temps pour s'occuper de son petit frère et pour sortir.

Mon avis

Ado j’ai découvert la série bande dessinée de Julien Neel : Lou ! Coup de cœur pour les 5 volumes. L’auteur nous livre le 6^ème volume que trois ans après le 5 et c’est malheureusement pour tomber assez bas. Je m’explique.

Lou est une fillette – au début de la série – qui reprend parfois le rôle de sa mère qui elle est fan de SF et de jeux vidéos. Elle aime faire ses fringues elle-même et est amoureuse en secret de Tristan. Jusqu’ici tout va bien. En 2009 l’auteur nous laissait avec la fin de Laser Ninja et moi j’attendais la suite. Elle arrive donc en 2012 avec L’âge de Cristal. Pour une raison que j’ignore je ne l’achète pas, et finalement je l’emprunte à la bibliothèque. Heureusement.

Ce qui ne va pas dans ce volume c’est avant tout les dessins. Vous le savez, je me répète à chaque fois, le dessin d’une BD est aussi importante que l’histoire elle-même. Les premiers tomes de Lou possèdent des traits légers et fin, et des belles couleurs pastel. Alors que ce tome ci fait très brouillon et pas fini. Lou est plus grande, elle est ado, et aurait mérité qu’on s’attarde un peu sur son nouveau look, et son corps de jeune femme. Ici les dessins ne la mettent pas du tout en valeur.

Ensuite l’histoire ! Et là c’est dommage que vous ne puissiez pas voir ma tête à l’écrit de cette chronique, mon désarroi est total sur le non-sens de ce tome. Ok la mère de Lou aime bien la SF et les jeux-vidéos, ok elle a elle-même écrit un roman de ce style qui connaît son succès. Mais des cristaux géants ?! Sérieux ? Entre les passages ou on ne sait pas du tout ce qui se passe, sur ce que ces cristaux provoquent, ni comment ces cristaux son arrivés ici, y’a de quoi perdre le fil. On ne comprend pas vraiment ce que ce tome apporte, à part rien. Le seul point positif c’est le petit frère de Lou qui parle de dinosaures tout du long, et je pense que ce sont les dialogues les plus intéressants de la BD.

Vous l’aurez comprit, ce tome est une grosse déception, moi qui adorait Lou. Je vous conseil par contre largement la série jusqu’au tome 5. Mais arrêtez-vous là.  

Les avis des copinautes : Lalibrairiedelou et d'autres la fiche BBM