Puissant et dévorant,
le don d'empathie de Kaleb n'a cessé d'évoluer,
le conduisant par-delà le Bien et le Mal...
Avant d'incarner l'Élu redouté de tous
et de livrer une ultime bataille à ses ennemis
pour sauver celle qu'il aime,
le jeune homme doit accomplir une dernière mission :
partir à la rencontre de ses ancêtres
en se plongeant dans Le Livre du Volcan...
Organique, prophétique et vivant, l'ouvrage porte en lui
l'empreinte des premiers enfants du volcan Eyjafjöll.
Son encre a coulé avec leur sang,
et ses pages palpitent de leur fureur et de leurs passions.
Car ce livre millénaire se nourrit des personnages qu'il rencontre,
qu'il nous raconte...
Mon avis
Peut contenir des spoilers concernant les tomes précédents, Kaleb et Kaleb Abigail
J’ai terminé une trilogie !!! Ça mérite que je le souligne, car je suis très forte pour commencer, mais pas pour finir les séries littéraires. Le troisième tome de Kaleb m’a été offert par Anaïs pour mon anniversaire, et je la remercie.
J’ai terminé une trilogie !!! Ça mérite que je le souligne, car je suis très forte pour commencer, mais pas pour finir les séries littéraires. Le troisième tome de Kaleb m’a été offert par Anaïs pour mon anniversaire, et je la remercie.
Pour être honnête, j’ai lu les deux premiers tomes de Kaleb il y a
bien longtemps. Vous pensez bien que mes souvenirs sont un peu flous. Après
relecture de mon avis du tome deux lu il y a bientôt 3 ans, je pense que
Kaleb fait partie de ces séries que j’ai aimé découvrir à un certain âge, ou
certain moment de ma vie de lectrice, mais que j’aurais dû terminer à ce moment-là
également. Avoir trop attendu a malheureusement fait baisser ma note concernant
cette fin. Alors que les deux premiers tomes étaient rythmés comme j’aime, ce
troisième opus est construit de manière bien étrange pour une fin. J’ai attendu
tout du long que le roman commence réellement
L’autrice décide d’intégrer énormément de passages du fameux livre du volcan, écrit il y a des années et transmis de scribe en scribe. Ce qui est une merveilleuse idée de base - j’adore quand les auteurs reviennent dans le passé dans leurs histoires pour nous en apprendre plus sur le présent des personnages. Le problème qu’il y a eu dans ce dernier tome, c’est que les passages du livre du volcan prennent beaucoup trop de place comparé à l’histoire de Kaleb. La fin est du coup précipitée, car on se concentre beaucoup plus sur le livre. J’aurais presque préféré avoir un livre à part, une sorte de hors-série, uniquement constitué des passages du livre du volcan. On aurait eu les informations concernant ces enfants dans ce hors-série, et la suite et fin de Kaleb dans le troisième tome. L’autrice aurait pu beaucoup mieux répartir ses personnages et terminer correctement sa trilogie.
L’autrice décide d’intégrer énormément de passages du fameux livre du volcan, écrit il y a des années et transmis de scribe en scribe. Ce qui est une merveilleuse idée de base - j’adore quand les auteurs reviennent dans le passé dans leurs histoires pour nous en apprendre plus sur le présent des personnages. Le problème qu’il y a eu dans ce dernier tome, c’est que les passages du livre du volcan prennent beaucoup trop de place comparé à l’histoire de Kaleb. La fin est du coup précipitée, car on se concentre beaucoup plus sur le livre. J’aurais presque préféré avoir un livre à part, une sorte de hors-série, uniquement constitué des passages du livre du volcan. On aurait eu les informations concernant ces enfants dans ce hors-série, et la suite et fin de Kaleb dans le troisième tome. L’autrice aurait pu beaucoup mieux répartir ses personnages et terminer correctement sa trilogie.
J’ai donc préféré suivre les ancêtres de Kaleb. Car leur histoire de
volcan est très intéressante. Toutes ces générations d’enfants maudits, c’était
passionnant à suivre. Les enfants nés sous les cendres du volcan sont
différents, et voir les autres membres du clan en avoir peur, puis les exclure
ou les asservir rappelle étrangement une actualité bien réelle. Ils sont
différents, ils font peur, il faut donc nous en préserver, avant même de
discuter ou connaître l’autre. Cruelle réalité. Les premiers enfants du volcan
sont tous différents, et à travers eux, nous allons enfin comprendre l’histoire
de Kaleb. Malheureusement comme je le disais, ils sont intéressants, mais Kaleb
l’est beaucoup moins. Sa fin est rapide, beaucoup trop. Il décide d’aller
sauver Abigail et se venger quitte à tuer tout le monde sur son passage. Son
aspect vilain garçon m’avait séduite au départ, car il était l’anti-héros par
excellence. Ici, il n’est plus rien. Je l’ai trouvé très fade et grincheux.
Autant quand il choisissait de faire le bien ou le mal, il le faisait de façon
consciente. Dans cette fin, il m’a simplement donné la sensation de le faire de
manière mécanique, comme une marionnette.
Le fin mot de l’histoire m’aura énormément déçue ! L’autrice
aurait pu faire quelque chose d’innovant, comme peu d’auteurs osent le faire.
Et malheureusement, elle termine sur une note irréaliste, et tellement too much
que j’en ai ri. Je n’en revenais pas de cette fin. Et je ne m’en remets toujours
pas je crois.
Autrice : Myra Eljundir
Éditeur : Robert Laffont
Collection : R
Parution : 14 novembre 2013
Pages : 439
EAN-13 : 9782221126844