Auteur : Anne Bragance
Editeur : Pocket
Collection: -
Editeur : Pocket
Collection: -
Parution : 2 mars 2006
Pages : 213
Pour sa mère, qui est aussi son professeur principal, Rose est trop grosse, Rose est sournoise, Rose ment, Rose est trop ceci ou pas assez cela. Rose a treize ans et, depuis longtemps, elle n'appelle plus sa mère maman.
La seule lumière qui entre dans l'univers de Rose, ce sont ces livres que Tante Lise lui envoie chaque Noël. Et puis il y a aussi Souade, la belle des Cités qui sourit tout le temps, avec ses cheveux bouclés et ses paroles qui lui échappent souvent.
Mon avis
Vous avez déjà pu découvrir cette auteur à travers ma chronique de Passe un ange noir qui est devenu pour moi l'un de mes plus gros coup de coeur livresque. Entre temps j'ai pu lire Anibal que je n'ai pas chroniqué ici (comme quoi, certaine lecture passe entre les maille du filet). Alors quand j'ai vu ce livre à Emmaüs (encore!), ben je l'ai prit. Ok la couverture en poche est vraiment pas terrible. J'ai l'édition de France Loisir, mais je ne trouve pas sa couverture, qui est vraiment plus belle.
Je m'incline encore une fois devant le talent de Bragance. Je pense la mettre dans les auteurs dont je surveille les parutions. Elle arrive, avec des sujets tout bête, à nous faire trembler de joie et de tristesse à travers ses personnages. Le rythme est soutenu, et l'auteur nous parle à travers une petite fille, ce qu'elle fait très bien. Ce n'est pas toujours évident de prendre comme narrateur un enfant quand on en est plus un.
Mais cette histoire, aussi banale qu'elle puisse paraître, est tout simplement très belle et très touchante. Rose va nous raconter sa vie, et pour une fille de son âge, je n'aurais pas aimer avoir la même. Avec cette mère qui la traîte comme l'une de ses élèves, aussi froidement qu'une personne inconnue. Rose est un peu perdue et prisonnière de sa belle maison. Alors quand elle rencontre une amie, Rose est heureuse, mais cela ne va pas durer. Car sa mère n'est pas commode avec les personnes que sa fille fréquente. Alors elle se réfugie dans les livres, et découvre d'autres mondes.
Il m'est très difficile de parler de ce livre sans tout dévoiler, car la fin est assez choquante. Donc c'est une chronique un peu bizarre, un peu spéciale, un peu brouillon. Ne m'en voulez pas, la vie de cette fille n'est pas plus ordrée que cette critique.
Mais j'ai beaucoup aimé.
La seule lumière qui entre dans l'univers de Rose, ce sont ces livres que Tante Lise lui envoie chaque Noël. Et puis il y a aussi Souade, la belle des Cités qui sourit tout le temps, avec ses cheveux bouclés et ses paroles qui lui échappent souvent.
Mon avis
Vous avez déjà pu découvrir cette auteur à travers ma chronique de Passe un ange noir qui est devenu pour moi l'un de mes plus gros coup de coeur livresque. Entre temps j'ai pu lire Anibal que je n'ai pas chroniqué ici (comme quoi, certaine lecture passe entre les maille du filet). Alors quand j'ai vu ce livre à Emmaüs (encore!), ben je l'ai prit. Ok la couverture en poche est vraiment pas terrible. J'ai l'édition de France Loisir, mais je ne trouve pas sa couverture, qui est vraiment plus belle.
Je m'incline encore une fois devant le talent de Bragance. Je pense la mettre dans les auteurs dont je surveille les parutions. Elle arrive, avec des sujets tout bête, à nous faire trembler de joie et de tristesse à travers ses personnages. Le rythme est soutenu, et l'auteur nous parle à travers une petite fille, ce qu'elle fait très bien. Ce n'est pas toujours évident de prendre comme narrateur un enfant quand on en est plus un.
Mais cette histoire, aussi banale qu'elle puisse paraître, est tout simplement très belle et très touchante. Rose va nous raconter sa vie, et pour une fille de son âge, je n'aurais pas aimer avoir la même. Avec cette mère qui la traîte comme l'une de ses élèves, aussi froidement qu'une personne inconnue. Rose est un peu perdue et prisonnière de sa belle maison. Alors quand elle rencontre une amie, Rose est heureuse, mais cela ne va pas durer. Car sa mère n'est pas commode avec les personnes que sa fille fréquente. Alors elle se réfugie dans les livres, et découvre d'autres mondes.
Il m'est très difficile de parler de ce livre sans tout dévoiler, car la fin est assez choquante. Donc c'est une chronique un peu bizarre, un peu spéciale, un peu brouillon. Ne m'en voulez pas, la vie de cette fille n'est pas plus ordrée que cette critique.
Mais j'ai beaucoup aimé.
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