Auteur : Muriel Barbery
Editeur : Gallimard
Collection: Folio
Editeur : Gallimard
Collection: Folio
Parution : 25 mai 2007
Pages : 165
C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli.
Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.
Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient - et il ne trouve pas. Pas encore.
Mon avis
Ne pas avoir faim pendant cette lecture, car les descriptions des mets en sauce, de sorbet et petits amuses bouches, sont tout simplement alléchants et appétissants. Le ventre gargouillant, on se lance dans cette recherche de la dernière et première saveur, celle d'un homme au bort de la mort, et qui dans un ultime effort fait tout pour se rappeler de ce goût qu'il avait en bouche, un jour, pourtant si lointain.
On y découvre, cet homme, agonisant, essayant vainement de se souvenir, et en parallèle des personnes qui lui sont proches, ses enfants, sa femme, et des personnes qu'il croisait de temps à autre, et une seule chose relie la plupart de ces personnes, la haine qu'ils ont à l'égard de cet énorme gastronome, cet homme mourrant. Mais lui, mourra dans l'ignorance de cette haine, peut être tant mieux...
En dernier je dirais qu'on passe un agréable moment à lire les souvenirs gastronomiques de cet homme, dont on ne connaît même pas le prénom. Car à travers ces souvenirs, à travers les repas, on y découvre sa vie, son enfance et tout ce qui a put l'accompagner. Beaucoup aimé.
On y découvre, cet homme, agonisant, essayant vainement de se souvenir, et en parallèle des personnes qui lui sont proches, ses enfants, sa femme, et des personnes qu'il croisait de temps à autre, et une seule chose relie la plupart de ces personnes, la haine qu'ils ont à l'égard de cet énorme gastronome, cet homme mourrant. Mais lui, mourra dans l'ignorance de cette haine, peut être tant mieux...
En dernier je dirais qu'on passe un agréable moment à lire les souvenirs gastronomiques de cet homme, dont on ne connaît même pas le prénom. Car à travers ces souvenirs, à travers les repas, on y découvre sa vie, son enfance et tout ce qui a put l'accompagner. Beaucoup aimé.
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