Auteur : Anna Gavalda
Editeur : J'ai Lu
Collection: Littérature générale. Roman
Editeur : J'ai Lu
Collection: Littérature générale. Roman
Parution : 5 mai 2010
Pages : 634
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. "Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l'impression d'avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu'il est devant l'évier, s'asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C'est fini. C'est fini, tu comprends ?" Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l'appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l'évidence : l'échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir
Mon avis
Je dois être une des seules personnes à avoir aimé ce livre, ou dans les rares en tout cas. Même les critiques littéraires n'ont que très moyennement apprécié cet opus de Gavalda. Dommage, car pour une fois ça change. On ne s'attend pas vraiment à ce style d'écriture plutôt décousu et parfois qui rend la lecture difficile, mais qui donne un charme au texte incroyable.
Et l'histoire est tout simplement Belle, avec une majuscule. Cet homme qui va tout quitté pour trouver une nouvelle raison de vivre (presque) jusqu'au moment ou il l'a recontre enfin. C'est un va et vient entre le passé et le présent qui nous tient en haleine pendant 600 pages. Je ne regrette pas ce livre. D'ailleurs, ça fait une année et demie que je l'ai lu, et je m'en souviens encore parfaitement bien.
Et l'histoire est tout simplement Belle, avec une majuscule. Cet homme qui va tout quitté pour trouver une nouvelle raison de vivre (presque) jusqu'au moment ou il l'a recontre enfin. C'est un va et vient entre le passé et le présent qui nous tient en haleine pendant 600 pages. Je ne regrette pas ce livre. D'ailleurs, ça fait une année et demie que je l'ai lu, et je m'en souviens encore parfaitement bien.
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